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Masteradogg m'a ordonné hier soir de me coucher sur le plancher à côté de son lit. Il n'a pas aimé que je me lève au milieu de la nuit pour aller dormir dans le lit d'en bas. Je croyais qu'il ne l'avait pas vu. J'étais revenu tôt me remettre à ma place. Mais rien n'échappe à Masteradogg, je commence à le comprendre. Et il n'a pas aimé ma petite sortie nocturne. Mais pas aimé du tout.
Alors ce matin j'ai eu droit à la niche. Près d'une heure à me morfondre, couché en chien de fusil dans la cage grillée. Et je guettais les bruits qui montaient de la grande maison. C'est lui ? ... c'est pas lui ? ... C'est lui, enfin. C'est lui ouvrant d'un coup la porte du grenier, martelant le plancher de ses hautes bottes, de ses hautes bottes de maître. Enfin il me fait sortir de la cage, enfin il me permet de l'enlacer, de le caresser, de frotter mon museau contre ses cuisses.
-Lèche mes bottes, chien !
Mmmmm! Oh oui ! que je vais les lui lécher les bottes à mon maître ! J'enfonce ma langue dans le cuir, je la descends, je la remonte, je bave, je chuinte. Mais ce n'est pas assez. La cravache cingle :
-Lèche plus fort !
Alors je lèche plus fort encore. J'enfonce toute ma gueule sur l'empeigne des bottes, puis je commence à remonter la tige.
-Tortille du cul.
Je creuse le dos, je me déhanche en léchant la botte à pleine langue et je lance mon cul de chienne à gauche, à droite, en haut, en bas. Mon maître me frictionne le crâne.
-Oui, c'est bien mon chien, continue !
Soudain il me lâche et s'éloigne de deux ou trois pas.
-Allez le chien, accours, colle ta langue à ma botte.
J'accours, et quand ma langue est prête à se coller à l'empeigne, mon maître est déjà parti.
-Alors, le chien, t'es pas aussi rapide que pour découcher la nuit ! je vais t'en donner de l'exercice.
Mon maître a pris le grand fouet, celui qui claque en ondulant. Et il l'agite.
-Allez, fais le tour du grenier à quatre pattes !
Je me lance, assez vite je crois, mais ce n'est pas assez pour mon maître qui claque le grand fouet, me cingle le dos.
Je force sur mes bras et sur mes jambes.
-Ton cul ! tortille ton cul !
Le fouet cingle, je tortille du cul en courant sur mes quatre pattes.
-Aboie !
J'aboie un peu timidement. Le fouet ondule, claque, cingle.
-Aboie plus fort !
Ouah ! Ouah ! Ouah ! Le grenier résonne de mes aboiements sous les claquements du fouet. Et je tourne en soufflant. Enfin mon maître se calme, replie la longue lanière.
-Approche toi, chienne !
Mon maître me présente sa bite relevée que j'avale.
-Doucement !
Longuement, voluptueusement, je suce mon maître qui me flatte la tête et apprécie.
-Allez, suis moi. Tu vas descendre au salon à quatre pattes.
Je suis à quatre pattes mon maître jusqu'au divan du salon où Masteradogg s'assoit, allongeant ses jambes bottées.
-Allez. Couché à côté de moi. Relève ton cul. Lèche mes bottes.
Je lèche. Et mon maître me claque les fesses pour m'encourager à appuyer ma langue. J'appuie ma gueule avec ma grosse langue sur la gangue de cuir jusqu'à bien sentir le pied de mon maître. Je cambre le dos, je remonte mon cul.
-Va te graisser le cul, ma chienne. Et prends le gode.
Je vais me graisser le cul et je prends le grand gode noir, heureux de m'enfoncer le bel engin dans le trou sous les yeux de mon maître qui me mate avec plaisir.
-Oui, ma chienne, enfonce le gode. Allez, allez, ouvre toi bien. Oui, enfonce le...
Je l'enfonce avec des torsions languissantes de chienne en chaleur et des feulements qui ravissent Masteradogg.
-Allez, assieds-toi sur le gode et suce moi.
Mon maître me présente sa bonne pine qui pointe et que je savoure, attardant ma langue sur le gland, la tournant autour de lui à l'intérieur de ma bouche. Mon maître sourit.
-Oui, c'est bon ça, chienne, continue.
Sur l'ordre de mon maître j'ai fait partir du feu dans la salle-à-manger. Mika s'est assis dans le grand fauteuil. Il m'a demandé de lui retirer ses bottes, de m'accroupir sur mes quatre pattes, de lui lécher les pieds. Alors longtemps je lèche, glissant de la cheville aux orteils, lapant le dessus, le coup de pied. Puis, appuyant ma tempe sur la pente de chair, je pousse ma langue sur le côté vers le gros orteil. Et je savoure la sueur tiède mêlée à ma salive, à la fois acidulée et douce. Et, comme mon maître relève le pied, je peux lécher à pleine langue toute la plante en contemplant au-dessus la moue jouisseuse du seigneur à barbe courte...
Mon maître a remis ses bottes.
-Allez, remonte au grenier, mon chien. On va jouer.
A quel jeu ? je ne sais pas encore. Mais ces seuls mots de mon maître :"mon chien, on va jouer" me mettent dans un état de liesse. Et je me surprends à japper comme un vrai chien qui attend que son maître s'occupe de lui.
Je grimpe à quatre pattes avec empressement derrière mon maître botté. Il s'assoit dans le grand fauteuil de cuir et il me présente un beau pouic-pouic orange qu'il fait couiner en souriant.
-Regarde, Bonclebs, s'il est pas beau ton jouet ! Allez, va chercher, mon toutou, va chercher .
En disant ces mots, il a lancé le jouet sur le plancher du grenier. Je me précipite à quatre pattes, réussis à saisir le pouic-pouic avec la gueule, le fais couiner avec mes dents en le rapportant à mon maître. Il a tendu sa main à droite. Je l'y dépose. Mon maître fait le geste de le lancer à nouveau. Je suis sa main mais elle ne s'ouvre pas. Masteradogg a gardé le jouet qu'il fait encore le geste de lancer plusieurs fois, s'amusant à me voir prêt m'élancer toujours. Enfin il le relance. Je cours. Et ça recommence deux fois, trois fois... Mon maître change la main dans laquelle je dois rapporter le pouic-pouic. Il sourit, il s'amuse à faire couiner le jouet. Il me crie joyeusement de le rapporter vite, plus vite. Il bande fort et son excitation décuple la mienne. Je cours, je mords le jouet. Parfois je ne desserre pas les dents quand mon maître veut le reprendre pour qu'il ait plus de plaisir encore à le retirer de ma gueule en forçant. Enfin :
-Allez, Bonclebs, rentre à la niche.
Je rentre à quatre pattes dans la cage, m'y couche, reste là à contempler mon maître qui se prélasse dans le fauteuil...
-Allez, sors de ta niche, Bonclebs ! Viens sucer ton maître.
Masteradogg veut que je m'active. Il a pris un gros fouet assez court mais qui m'enveloppe bien quand il me cingle le dos, les fesses, les cuisses. Je suce mon maître à genoux, accroupi, sursautant sous les coups de fouet, balançant mon cul de chienne entre les jambes bottées de mon maître et enfonçant toujours mieux ma gueule autour de la belle bite dressée.
La bite de mon maître fléchit un peu. Masteradogg me repousse du pied de sa botte. Il ordonne :
-Va chercher ta gamelle, chien.
Je vais chercher ma gamelle, la rapporte dans ma gueule, la pose entre la cage et le fauteuil comme mon maître me le demande. Le Akkar Mika s'est levé. Il écarte les bottes devant la gamelle. Il pisse dedans de toute sa hauteur, d'un jet puissant et sonore. J'attends en face, couché sur les pattes. Je vois la pisse jaune et mousseuse monter dans la gamelle. Je sens qu'il me faudra la boire, qu'il faudra boire toute la pisse de mon maître qui tombe à jet continu de sa bite et qui commence à exhaler une odeur douçâtre et écoeurante. L'humiliation me creuse l'estomac et m'excite de façon terrible. Ca y est. C'est fini. Mon maître a fini de pisser. Il s'est rassis dans le fauteuil et déjà il ordonne :
-Lape, mon chien, lape !
J'hésite. Je regarde mon maître.
-Tu vas laper la pisse de ton maître, chien !
Alors je lape, je lape à grands coups de langue, relevant de temps en temps le regard pour voir sur le sourire de mon maître le plaisir qu'il prend à me voir laper sa pisse à ses bottes dans ma gamelle. La saumure tiède, jaunâtre et nauséeuse, un rien amère m'emplit la gueule, me descend par le gosier. Je suis la chienne à pisse de Masteradogg. Un moment, j'en peux plus de boire, fais comme si j'avais terminé, relève la gueule, la retire d'au dessus de la gamelle. Mon maître se penche.
-Il en reste encore plein, ma chienne. Tu vas laper tout.
Le fouet me cingle. Je relape encore mais relève la tête presque aussitôt.
-Il en reste encore, chienne.
Je fais la tête du mauvais chien qui ne veut pas finir sa gamelle.
-Je vais t'apprendre à boire toute ta gamelle de pisse, ma chienne. Je vais t'apprendre !
Mon maître m'attrape par l'oreille, me traîne jusqu'au milieu du grenier. Il me met des menottes de suspension, me fait monter sur une chaise, m'accroche par les mains, les pieds touchant à peine le sol. Il a pris le grand fouet:
-Je vais te faire danser, Bonclebs... Tu vas voir !...
bonclebs
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