Le blog de masteradogg
Ca faisait quinze ans que je n'avais pas revu Mika, un grand Akkar mal rasé qui avait commencé à me dresser comme clebs. Mika se faisait aussi appeler Masteradog. Il m'avait fait venir chez lui, m'avait fait entrer dans son salon. Il portait tea-shirt, jean et rangeos et avait une cravache à la main.
-Approche-toi, Bonclebs, et caresse ton maître.
Je m'approchai aussitôt, enlaçai Mika qui se tenait debout et me fixait en souriant.. Mais dès que j'eus commencé à promener mes mains derrière son dos, il appuya fermement sur ma tête et me força à descendre. Ma bouche arriva vite à hauteur de son sexe qui gonflait sa braguette.
-Sors ma bite et prends la dans ta gueule.
J'ouvris la braguette. Le gland pointait au-dessus du slip. Je l'enfournai goulûment.
-Doucement, bonclebs.
Je desserrai un peu l'étreinte de ma bouche, tout en gardant les lèvres collées autour de la bonne teub. Penché comme je l'étais, je faisais saillir mon cul. Je sentis bientôt la cravache.
-Tortille ton cul.
Je tortillai mon cul et continuai de sucer mon maître. Il appréciait, tout en jouant de la cravache. La lanière rigide avait un claquement rude et sonore. Je gémissais, me tordais et continuais à faire glisser la bite turgescente entre mes lèvres.
-Accroupis, clebs. ..Relève ton cul.
Je continuais, accroupi, à sucer mon maître, tendant mon cul à la cravache, le tortillant sous les coups, bavant en savourant la bonne bite qui allait et venait entre mes lèvres et me faisait déjà bien triquer.
-A quatre pattes, lèche les rangeos.
Ca y est, je commençais à être vraiment le chien. Les coudes et les genoux par terre, je promenais ma langue sur le cuir ferme et ciré des rangeos. Je sentis bientôt la cravache.
-Léche plus fort, chienne. Je sens pas ta langue.
J'appuyais la langue, je bavais, je chuintais en même temps, faisant trotter dans ma tête l'idée que j'étais une vraie chienne aux bottes de mon maître. La cravache cinglait et je léchais toujours plus fort, poussant ma langue toujours plus loin autour de la gangue de cuir. Soudain mon maître me saisit les cheveux et conduisit ma gueule à sa bite qui se dressait. J'avalai le membre dur.
-Doucement, chien, doucement !
Mon maître ponctuait chaque mot d'un coup de cravache. Alors je le suçai langoureusement avec des hochements de tête et des torsions de cul.
-Désape-toi.
j'ôtai mon marcel puis mes brodequins de raleb. J'enlevai mon pantalon.
-Tes chaussettes !
Je me retrouvai pieds nus avec juste mon jock strap que mon maître m'avait dit de garder.
-Fous-toi du gel.
Je me graissai bien le cul. Mon maître me présenta un plug noir avec une longue queue de chien qui tire-bouchonnait.
-Allez, enfonce, chienne !Fixe ta belle queue à ton cul.
J'enfonçai dans la raie le gros oeuf de latex du plug jusqu'à la garde où montait la longue queue flexible. C'était dur. Je geignais un peu en forçant, ce qui ravissait mon maître.
-Allez, bonclebs ! enfonce, mon chien !
Enfin le plug fut enfoncé.
-Allez, bouge du cul, chien, secoue ta queue !
Je tordis le cul avec des mouvements de hanche. Et mon maître parut ravi.
-Ouais, c'est bien, chienne ! tu remues pas mal la queue. Je sens que je vais bien m'amuser avec toi.
Mika me boucla au cou un collier à chien, y fixa une laisse.
-Allez, à quatre pattes, chienne !
Il commença à me traîner en laisse, me fit parcourir un couloir, une arrière-salle, m'amena devant un escalier.
-Tu vas monter à quatre pattes. Et que je te voie pas te relever, chien !
Je commençai à monter les marches sur les mains et les genoux derrière mon maître qui tirait sur la laisse. Un moment je me redressai à demi sur mes jambes.
-Je vais t'apprendre à marcher à quatre pattes, chien : tu vas voir !
On arriva dans un long grenier et Masteradog saisit un grand fouet. Il le fit claquer en l'air deux fois, trois fois...Puis il projeta vers moi la lanière longue et sifflante.
-Allez, cours, le chien !
Je courus à quatre pattes mais le fouet me poursuivait. Masteradog souriait en me cinglant le dos.
-Remue le cul, chien !
Je tordais le derrière en faisant remuer ma queue de chien, ce qui réjouissait mon maître.
-Ouais, bonclebs ! Bouge bien ta queue devant ton maître... Allez, plus vite !
Je forçais sur les mains et les genoux, m'efforçais de filer, d'échapper aux cinglements du long fouet mais en même temps je sentais mon ventre bouleversé d'excitation : j'étais la chienne de Mika, Masteradog, mon maître ! Et je retournais la tête pour voir ce spectacle subjuguant : le grand Akkar à barbe courte, dressé sur ses rangeos, faisant ondoyer et claquer son grand fouet.
-Stop, bonclebs. Fais le beau.
Je m'arrêtai à genoux, relevai me mains pliées, tirai la langue.
-Allez, on repart !
Et ça repartit pour un tour, un tour de grenier à quatre pattes sous le grand fouet de mon maître.
Enfin Masteradog arrêta de claquer le fouet, lova la lanière, s'en servit pour m'indiquer une grande cage à chien en alu.
-Allez, bonclebs, à la niche !
J'entrai dans la cage à quatre pattes.
-Couché.
Je me couchai sur la toile noire et blanc, me pelotonnai. Mon maître qui s'était assis sur un grand fauteuil de cuir me regardait.
Au bout d'un moment il se leva, marcha vers la cage. Il avait un fouet court à la main. Il me fit sortir.
-Lèche les rangers.
je léchai à pleine langue les rangeos de mon maître.
-C'est bon?
-Oui, maître ! c'est bon, maître !
Mon maître s'assit dans le fauteuil. Je continuai à lui lécher les rangeos. Il me cinglait le dos du fouet court pour me faire activer.
-Viens lécher là.
Il désignait sa braguette que je léchai vigoureusement.
-T'es un bon clebs, toi ! t'aimes ça ?
-Oui, maître.
Masteradog se débraguetta . J'engloutis sa pine raide.
-Doucement, doucement !
Je suçai longuement mon maître dont la bite gonflée m'emplissait la gueule. Le fouet claquait sur mon dos presque langoureusement. C'était bon.
Mon maître me releva la tête.
-Retourne à ta niche ! dépêche-toi !... couché !
Cinq minutes après, il me faisait ressortir. Il avait sa cravache à la main. Du bout il me présenta une ranger.
-Léche.
Je léchai en salivant, en chuintant. Mon maître se mit à marcher.
-Colle ta gueule à la ranger.
J'essayais de coller ma langue mais aussitôt mon maître faisait deux ou trois pas, tournant dans un sens, puis dans l'autre. Quand je ne collais pas ma langue assez vite, la cravache me cinglait. Enfin il s'arrêta.
-Mets bien ton cul devant moi et remonte le.
Je cambrai le dos, remontai le cul en écrasant ma langue sur l'empeigne de cuir. J'eus droit à une série de coups de cravache pendant que je m'efforçais de lécher toujours plus fort les rangers de mon maître.
Ensuite Mika se mit à marcher en long et en large dans le grenier en m'obligeant à le suivre à quatre pattes.
-Tiens toi à mon côté. Colle ta gueule à ma jambe.
J'obéissais, marchant bien à côté de mon maître, frottant ma joue contre sa cuisse dès que je le pouvais.
-Rampe !
L'ordre me surprit. Je ne le compris même pas d'abord. Mais oui, mon maître voulait que je rampe à ses pieds, tout mon corps de chien collé au sol ! Alors je rampai. Je rampai tout autour du grenier sous la cravache de Masteradog. Je rampais aux bottes de mon maître. J'étais plus que sa chienne, j'étais sa larve rampante. Mon maître jubilait. A un moment, il reprit le grand fouet dont il s'était servi tout à l'heure. Il se mit à le claquer en répétant joyeusement: "allez, rampe ma chienne ! rampe aux pieds de ton maître ! rampe !..."
Et enfin il me fit rentrer dans la niche...
bonclebs